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À l’heure où le recyclage est considéré comme une priorité mondiale, certains produits sont directement concernés. C’est le cas notamment des déchets à risques infectieux ou des médicaments. Pour faire face à cette problématique, des solutions ont vu le jour. C’est le cas précisément de la collecte médicale. Néanmoins, si les méthodes se sont améliorées avec le temps, il reste encore beaucoup de progrès à accomplir. Coup de projecteur sur le rôle majeur de ces nouveaux acteurs incontournables en matière de recyclage des déchets.
Quel traitement pour les DASRI ?
Si vous ne connaissez pas le sens de cet acronyme, c’est normal, car il est apparu il y a peu. En revanche, sa signification doit vous être plus familière. En effet, les DASRI sont les déchets d’activités de soins à risque infectieux. De l’amalgame dentaire au liquide de radiographie en passant par les outils de diagnostics, la liste de matériel pris en charge est large. En misant une méthodologie claire qui a fait ses preuves, le traitement est optimisé. De la prise d’informations au rendez-vous final en passant par la traçabilité, rien n’est oublié. On vous recommande de faire un tour sur le site web d’un pro pour en savoir plus.
Un marché qui se développe
Pour illustrer cette nouvelle tendance, le nombre de sociétés spécialisées a explosé depuis 10 ans. Afin de répondre aux nouvelles exigences réglementaires, ces nouveaux experts ont élargi leur périmètre de compétence et d’action. Pas un hasard si le traitement a été optimisé ces deux dernières années. Résultat, les petites quantités ne sont plus épargnées. Quand on connaît le casse-tête pour recycler un pacemaker, une sonde ou un aérosol, on comprend très vite l’intérêt à contacter ce type d’entreprise. Dernier détail, le prix à débourser est loin d’être XXL. Il faut dire que les formules adaptées à chaque activité facilitent les choses. Vous savez désormais ce qu’il vous reste à faire pour recycler vos déchets médicaux.